La sixième édition des 24H Off Road Maroc se prépare ! Le rallye propose des parcours toujours aussi variés et adaptés à son concept, comme lors de ses éditions précédentes où la caravane du rallye a fait étape dans les villes de Marrakech, Agadir, Tiznit, Aglou, Erfoud, Zagora, Ouarzazate, Ouled Jerrar, El Mers et Ouled Driss. En 2015, les pilotes et copilotes tenteront de réaliser leurs meilleurs chronos dans lors des étapes suivantes :
09 MAI - VERIFICATIONS ET PROLOGUE - TIZNIT : "La répétition générale"
Ce court prologue a pour seul objectif de définir l'ordre de départ de la première étape. A l'issue des vérifications administratives et techniques, chaque concurrent se présentera vers le CH de départ de ce prologue. Une fois le pilote sélectionné (pour les équipes disposant de plusieurs pilotes), le départ sera donné individuellement pour un véritable sprint de 2 kilomètres sur une piste très roulante. Les concurrents pourront réaliser 2 tours (assistance et changement de pilote autorisé entre les 2 tours) mais seul le meilleur chrono de ces deux tours sera enregistré et permettra de définir la grille de départ des 24H Off Road Maroc 2015.
ETAPE 1 - 10 MAI - 6H D'OULED JERRAR : "Décollage pour Ouled Jerrar"
C'est à proximité du petit village d'Ouled Jerrar que s'installe le paddock de cette première étape, situé à l'extrémité d'une petite piste d'aviation. Cette spéciale déjà empruntée par le parcours de l'édition 2014, est très certainement l'une des plus rapides, avec de belles pistes dessinées et très roulantes. Mais que les pilotes présents l'an passé oublient leurs repères... le parcours sera emprunté dans le sens inverse !
ETAPE 2 - 11 MAI - Normalement prévue à Aglou, cette spéciale vas être déplacée vers la piste des Arganiers près de l'aéroport d'Agadir (Biougra) suite à un véto des autorités et ce malgré les autorisations préalablement accordées.
ETAPE 3 - 13 MAI - 6H DE OUARZAZATE : "Far-West Avenue"
La ligne de départ surplombe les décors de cinéma, sur une piste qui dirige les pilotes vers une portion inédite de ce circuit déjà emprunté lors de précédentes éditions. Au loin, la chaîne de l'Atlas, un décor splendide dont on ne pourrait se lasser. Un véritable circuit de vitesse avec des pistes caillouteuses très roulantes permettant les dépassements à tout
instant, sans véritables difficultés - sauf quelques saignées signalées.
ETAPE 4 - 14 MAI - 6H DE OULED DRISS : "Les sables de l'Erg Lihoudi"
Le paddock au goût de "bivouac" sera l'un des plus beaux de l'épreuve, au pied des dunes, pour le plus grand plaisir des assistants et accompagnateurs. Pour cette étape, la plus longue de l'édition 2015, quelques passages de dunettes sans difficultés, une grande portion de pistes sur sable mou, ou parfois plus roulantes ; comme toujours, se doubler
sera un jeu d'enfant dans ce décor venant compléter parfaitement la belle panoplie des paysages marocains... Que les pilotes novices en franchissement de dunes soient rassurés, il ne s'agit pas ici de perdre les concurrents dans un gigantesque tas de sable, d'autant plus que le concept même de l'épreuve ne permet pas de rouler 6H non-stop en boucle dans les dunes - les franchissements seraient de plus en plus incertains.
L'ARRIVEE.
Le classement en images.
09 MAI - VERIFICATIONS ET PROLOGUE - TIZNIT : "La répétition générale"
Ce court prologue a pour seul objectif de définir l'ordre de départ de la première étape. A l'issue des vérifications administratives et techniques, chaque concurrent se présentera vers le CH de départ de ce prologue. Une fois le pilote sélectionné (pour les équipes disposant de plusieurs pilotes), le départ sera donné individuellement pour un véritable sprint de 2 kilomètres sur une piste très roulante. Les concurrents pourront réaliser 2 tours (assistance et changement de pilote autorisé entre les 2 tours) mais seul le meilleur chrono de ces deux tours sera enregistré et permettra de définir la grille de départ des 24H Off Road Maroc 2015.
ETAPE 1 - 10 MAI - 6H D'OULED JERRAR : "Décollage pour Ouled Jerrar"
C'est à proximité du petit village d'Ouled Jerrar que s'installe le paddock de cette première étape, situé à l'extrémité d'une petite piste d'aviation. Cette spéciale déjà empruntée par le parcours de l'édition 2014, est très certainement l'une des plus rapides, avec de belles pistes dessinées et très roulantes. Mais que les pilotes présents l'an passé oublient leurs repères... le parcours sera emprunté dans le sens inverse !
ETAPE 2 - 11 MAI - Normalement prévue à Aglou, cette spéciale vas être déplacée vers la piste des Arganiers près de l'aéroport d'Agadir (Biougra) suite à un véto des autorités et ce malgré les autorisations préalablement accordées.
ETAPE 3 - 13 MAI - 6H DE OUARZAZATE : "Far-West Avenue"
La ligne de départ surplombe les décors de cinéma, sur une piste qui dirige les pilotes vers une portion inédite de ce circuit déjà emprunté lors de précédentes éditions. Au loin, la chaîne de l'Atlas, un décor splendide dont on ne pourrait se lasser. Un véritable circuit de vitesse avec des pistes caillouteuses très roulantes permettant les dépassements à tout
instant, sans véritables difficultés - sauf quelques saignées signalées.
ETAPE 4 - 14 MAI - 6H DE OULED DRISS : "Les sables de l'Erg Lihoudi"
Le paddock au goût de "bivouac" sera l'un des plus beaux de l'épreuve, au pied des dunes, pour le plus grand plaisir des assistants et accompagnateurs. Pour cette étape, la plus longue de l'édition 2015, quelques passages de dunettes sans difficultés, une grande portion de pistes sur sable mou, ou parfois plus roulantes ; comme toujours, se doubler
sera un jeu d'enfant dans ce décor venant compléter parfaitement la belle panoplie des paysages marocains... Que les pilotes novices en franchissement de dunes soient rassurés, il ne s'agit pas ici de perdre les concurrents dans un gigantesque tas de sable, d'autant plus que le concept même de l'épreuve ne permet pas de rouler 6H non-stop en boucle dans les dunes - les franchissements seraient de plus en plus incertains.
L'ARRIVEE.
Le classement en images.
Une vraie course en relais !
24H ORM : L'édition 2015
Chaque boucle propose un kilométrage permettant des relais à l'ensemble de l'équipe : de 2 à 5 pilotes ou copilotes (composition libre) par voiture. Le choix des parcours de chaque manche de 6 heures s'articule autour de 3 impératifs :
favoriser les possibilités de relais, avec des boucles aux développés permettant à 4 pilotes d'une même équipe de participer à toutes les manches s'ils le souhaitent.
réduire tant que possible les difficultés de franchissement : il s'agit d'une course de vitesse, pas d'un trial 4x4. Il est aussi question que les fidèles pilotes du championnat de France des rallyes et de l'endurance tout terrain, souvent non initiés aux passages de dunes, puissent participer à leur premier rallye africain. Aussi, ce second point rejoint le premier : le franchissement d'une zone délicate dans le parcours pourrait compromettre tout échange de volant entre pilotes d'une même équipe si l'un d'eux y perdait des heures...
permettre aux assistances et aux accompagnateurs, VIP, sponsors ou amis, de VIVRE la course, pas seulement de la regarder passer une fois par étape... Ainsi, avec un seul point d'assistance et de relais confondus pour chaque manche, l'esprit "endurance" sera conservé : permettre à l'intégralité d'un team de participer à la course.
Une course plus "juste"
24H ORM : L'édition 2015
Une course plus "juste" basée sur un règlement sportif qui prévoit des sanctions sportives évitant les mises hors course, et cela afin que chacun puisse profiter le plus possible du rallye. Ainsi, une intervention mécanique trop longue, un départ manqué, une étape non terminée, chaque équipe prendra quand même le départ de la suivante. Elle essuiera des pénalités mais restera toujours en course.
24H ORM : L'édition 2015
Chaque boucle propose un kilométrage permettant des relais à l'ensemble de l'équipe : de 2 à 5 pilotes ou copilotes (composition libre) par voiture. Le choix des parcours de chaque manche de 6 heures s'articule autour de 3 impératifs :
favoriser les possibilités de relais, avec des boucles aux développés permettant à 4 pilotes d'une même équipe de participer à toutes les manches s'ils le souhaitent.
réduire tant que possible les difficultés de franchissement : il s'agit d'une course de vitesse, pas d'un trial 4x4. Il est aussi question que les fidèles pilotes du championnat de France des rallyes et de l'endurance tout terrain, souvent non initiés aux passages de dunes, puissent participer à leur premier rallye africain. Aussi, ce second point rejoint le premier : le franchissement d'une zone délicate dans le parcours pourrait compromettre tout échange de volant entre pilotes d'une même équipe si l'un d'eux y perdait des heures...
permettre aux assistances et aux accompagnateurs, VIP, sponsors ou amis, de VIVRE la course, pas seulement de la regarder passer une fois par étape... Ainsi, avec un seul point d'assistance et de relais confondus pour chaque manche, l'esprit "endurance" sera conservé : permettre à l'intégralité d'un team de participer à la course.
Une course plus "juste"
24H ORM : L'édition 2015
Une course plus "juste" basée sur un règlement sportif qui prévoit des sanctions sportives évitant les mises hors course, et cela afin que chacun puisse profiter le plus possible du rallye. Ainsi, une intervention mécanique trop longue, un départ manqué, une étape non terminée, chaque équipe prendra quand même le départ de la suivante. Elle essuiera des pénalités mais restera toujours en course.
Les vérifications à Tiznit
Arrivés de Paris, Lyon, Bordeaux ou d’ailleurs, les organisateurs, concurrents, partenaires et accompagnateurs des 24H Off-Road Maroc 2015 se sont retrouvés hier vendredi 8 mai en soirée à l’hôtel Idou de Tiznit, à 90 km au Sud d’Agadir. 8 mai, jour anniversaire de la Victoire des Alliés en 1945 — certains y auront pensé… Belles retrouvailles, ambiance sympathique et décontractée, briefing du grand ‘patron’, Jean-Louis Dronne, dîner convivial et douce nuit… La meilleure façon de se préparer aux premières hostilités, le lendemain.
Vérifications - décontraction
C’est dans une ambiance particulièrement décontractée et sous le beau soleil marocain que les vérifications administratives et techniques de cette 6e édition se sont déroulées, comme de coutume, sur la vaste esplanade du centre de Tiznit, située entre l’artère principale et les remparts de terre rouge qui ceinturent la ville ancienne. Ces vérifications constituent un moment privilégié pour rencontrer les pilotes et copilotes, les mécanos ou les patrons d’écuries…
• Pierre Lachaume, Optimus n° 1 : “C’est la 3e fois que je courre au Maroc avec Alex Rouchon. Nous avons gagné l’an passé et, bien évidemment, nous avons l’intention de défendre notre titre ! Même si je ne connais pas les circuits de Ouarzazate et Zagora. Cette année, nous avons engagé un équipier ‘de luxe’, Jipé Strugo : un excellent pilote, et un homme de grande expérience.“
• Raoul Schmid et Stéphane Zosso, Protruk n° 6 : “L’an passé, nous avons fait une belle course à trois. Cette fois, nous sommes deux, mais nous allons tenter de faire mieux et, pourquoi pas, de gagner — même si nous ne connaissons pas les pistes de Ouarzazate et Zagora !”
• Il y a au moins une voiture “écologique” qui participe à ce Maroc Off-Road 2015 : il s’agit du buggy “écoproto” n° 31 d’Objectif Dunes. La coque de la voiture est en effet réalisée en glucose, cellulose et résine de pin, après avoir été fabriquée pendant un temps à base de fibres de betteraves. On est donc passé du sucre à la forêt landaise chez cet équipage qui porte les couleurs d’une association toulousaine montée au sein d’Airbus Industries — cette initiative technique est d’ailleurs suivie avec intérêt par le géant de l’aéronautique… Deux Frédéric, Ganache et Dubois, vont se partager le volant — le second cité roulant pour la première fois au Maroc et sur piste…
• Les SSV Polaris n° 72 et 73 (écurie Jardins Loisirs) ont l’ambition de terminer dans le ‘Topten’ selon l’un des pilotes : “Petit véhicule, certes, mais vif, maniable, avec une belle garde au sol et un grand débattement de suspensions… A ne surtout pas négliger !”
• Etienne Smulevici, Toyota n° 14 : “Je suis heureux d’être ici, une fois de plus. Pour ce qui concerne le prochain Dakar, j’envisage de le faire en camion. Après 33 Dakar en voiture, je pars pour 33 Dakar en camion… Après, j’aviserai : quad, moto, je n’ai pas encore fait mon choix ! J’hésite.”
• Le grand prix de la “déco-qui-frappe” revient au Nissan Sprinkbox n° 7 : livrée noire à parements rouge fluo. Immanquable !
• Autre déco intéressante, celle du buggy RMA n° 22, d’un rose fuschia du plus bel effet, partenaire principal oblige. La tenue de parade de l’équipage est également très ‘sexy’ !
• Cédric Kalvas, proto Kalvas Mercedes n° 46 (comme d’habitude !) : “Nous avons connu 11 crevaisons l’an dernier. Passées les premières, cela devient vite fatigant. Donc, j’ai installé un système de vérins pour lever la voiture et pouvoir changer une roue sans que ce ce soit un calvaire ! Par ailleurs, la carrosserie est blanche cette année, elle était noire l’an passé. On a tout misé sur le confort et le plaisir !”
• Laurent Fouquet, superviseur de l’écurie Sodicars : “Nous engageons la même voiture qu’en 2014 (n° 11), mais sa motorisation est différente : nous sommes passé d’un BMW turbo à un V8 Chevrolet, pour une puissance quasi identique. Et nous avons un nouvel équipage. Pourquoi pas une place sur le podium ? Et sur notre bowler n° 25, on notera que Jean-Pierre Cottret roulera pour la première fois au poste de copilote !”
Vérifications - décontraction
C’est dans une ambiance particulièrement décontractée et sous le beau soleil marocain que les vérifications administratives et techniques de cette 6e édition se sont déroulées, comme de coutume, sur la vaste esplanade du centre de Tiznit, située entre l’artère principale et les remparts de terre rouge qui ceinturent la ville ancienne. Ces vérifications constituent un moment privilégié pour rencontrer les pilotes et copilotes, les mécanos ou les patrons d’écuries…
• Pierre Lachaume, Optimus n° 1 : “C’est la 3e fois que je courre au Maroc avec Alex Rouchon. Nous avons gagné l’an passé et, bien évidemment, nous avons l’intention de défendre notre titre ! Même si je ne connais pas les circuits de Ouarzazate et Zagora. Cette année, nous avons engagé un équipier ‘de luxe’, Jipé Strugo : un excellent pilote, et un homme de grande expérience.“
• Raoul Schmid et Stéphane Zosso, Protruk n° 6 : “L’an passé, nous avons fait une belle course à trois. Cette fois, nous sommes deux, mais nous allons tenter de faire mieux et, pourquoi pas, de gagner — même si nous ne connaissons pas les pistes de Ouarzazate et Zagora !”
• Il y a au moins une voiture “écologique” qui participe à ce Maroc Off-Road 2015 : il s’agit du buggy “écoproto” n° 31 d’Objectif Dunes. La coque de la voiture est en effet réalisée en glucose, cellulose et résine de pin, après avoir été fabriquée pendant un temps à base de fibres de betteraves. On est donc passé du sucre à la forêt landaise chez cet équipage qui porte les couleurs d’une association toulousaine montée au sein d’Airbus Industries — cette initiative technique est d’ailleurs suivie avec intérêt par le géant de l’aéronautique… Deux Frédéric, Ganache et Dubois, vont se partager le volant — le second cité roulant pour la première fois au Maroc et sur piste…
• Les SSV Polaris n° 72 et 73 (écurie Jardins Loisirs) ont l’ambition de terminer dans le ‘Topten’ selon l’un des pilotes : “Petit véhicule, certes, mais vif, maniable, avec une belle garde au sol et un grand débattement de suspensions… A ne surtout pas négliger !”
• Etienne Smulevici, Toyota n° 14 : “Je suis heureux d’être ici, une fois de plus. Pour ce qui concerne le prochain Dakar, j’envisage de le faire en camion. Après 33 Dakar en voiture, je pars pour 33 Dakar en camion… Après, j’aviserai : quad, moto, je n’ai pas encore fait mon choix ! J’hésite.”
• Le grand prix de la “déco-qui-frappe” revient au Nissan Sprinkbox n° 7 : livrée noire à parements rouge fluo. Immanquable !
• Autre déco intéressante, celle du buggy RMA n° 22, d’un rose fuschia du plus bel effet, partenaire principal oblige. La tenue de parade de l’équipage est également très ‘sexy’ !
• Cédric Kalvas, proto Kalvas Mercedes n° 46 (comme d’habitude !) : “Nous avons connu 11 crevaisons l’an dernier. Passées les premières, cela devient vite fatigant. Donc, j’ai installé un système de vérins pour lever la voiture et pouvoir changer une roue sans que ce ce soit un calvaire ! Par ailleurs, la carrosserie est blanche cette année, elle était noire l’an passé. On a tout misé sur le confort et le plaisir !”
• Laurent Fouquet, superviseur de l’écurie Sodicars : “Nous engageons la même voiture qu’en 2014 (n° 11), mais sa motorisation est différente : nous sommes passé d’un BMW turbo à un V8 Chevrolet, pour une puissance quasi identique. Et nous avons un nouvel équipage. Pourquoi pas une place sur le podium ? Et sur notre bowler n° 25, on notera que Jean-Pierre Cottret roulera pour la première fois au poste de copilote !”
Le prologue à Tiznit
Au terme des vérifications, 20 véhicules ont été autorisés à participer à l’épreuve.
Le prologue de Tiznit Cette courte mise en jambes de 1,85 kilomètre s’est disputée sur un terrain situé en bordure de la route d’Agadir, à la sortie de Tiznit. Sur une piste accidentée, caillouteuse et poussiéreuse, c’est l’Optimus n° 1 piloté par Pierre Lachaume qui a réalisé la meilleure performance, 4 sec. devant l’autre Optimus de la même écurie MD. Le ton est donné ! On notera cependant que l’an passé, le meilleur temps réalisé sur ce même circuit était de 1’23”549 / à comparer avec le chrono de Lachaume cette année : 1’41”186, soit 28 sec. de plus !
Il ne fallait rien attendre (au plan sportif) de ce prologue puisque son résultat ne servait qu’à déterminer l’ordre des départs de l’étape de demain. Pourtant, côté incidents, le public n’a pas été épargné ! La série a été inaugurée par un tonneau du Wildcat n° 10, sans conséquence fâcheuse — hormis une petite écorchure au nez pour le copilote, qui aussitôt été pris en charge par l’équipe médicale. Dans son second tour, le bowler Sodicars n° 25 a été victime d’une panne d’embrayage, puis de démarreur. Retour en remorque à la case assistance. Le buggy n° 11, engagé dans la même écurie, a connu un ennui de courroie qui a provoqué une légère surchauffe. Rien de grave, puisqu’il a signé le 5e chrono dans son second tour. Le tout dernier incident, on le doit au buggy Jimco n° 3 de l’écurie MD, qui est parti en tonneau à la sortie du tout dernier droite du circuit, quelques mètres avant de passer devant la cellule ‘finish’. Pas de dégâts humains, des conséquences mécaniques mineures et… un beau 4e chrono obtenu dans le premier tour.
Le prologue de Tiznit Cette courte mise en jambes de 1,85 kilomètre s’est disputée sur un terrain situé en bordure de la route d’Agadir, à la sortie de Tiznit. Sur une piste accidentée, caillouteuse et poussiéreuse, c’est l’Optimus n° 1 piloté par Pierre Lachaume qui a réalisé la meilleure performance, 4 sec. devant l’autre Optimus de la même écurie MD. Le ton est donné ! On notera cependant que l’an passé, le meilleur temps réalisé sur ce même circuit était de 1’23”549 / à comparer avec le chrono de Lachaume cette année : 1’41”186, soit 28 sec. de plus !
Il ne fallait rien attendre (au plan sportif) de ce prologue puisque son résultat ne servait qu’à déterminer l’ordre des départs de l’étape de demain. Pourtant, côté incidents, le public n’a pas été épargné ! La série a été inaugurée par un tonneau du Wildcat n° 10, sans conséquence fâcheuse — hormis une petite écorchure au nez pour le copilote, qui aussitôt été pris en charge par l’équipe médicale. Dans son second tour, le bowler Sodicars n° 25 a été victime d’une panne d’embrayage, puis de démarreur. Retour en remorque à la case assistance. Le buggy n° 11, engagé dans la même écurie, a connu un ennui de courroie qui a provoqué une légère surchauffe. Rien de grave, puisqu’il a signé le 5e chrono dans son second tour. Le tout dernier incident, on le doit au buggy Jimco n° 3 de l’écurie MD, qui est parti en tonneau à la sortie du tout dernier droite du circuit, quelques mètres avant de passer devant la cellule ‘finish’. Pas de dégâts humains, des conséquences mécaniques mineures et… un beau 4e chrono obtenu dans le premier tour.
Étape 1 > 6H d'Ouled Jerrar
Entre poussière et avions…
Tout le monde pensait que la petite piste d’Ouled Jerrar était abandonnée… Hé bien non ! Alors que la première étape était lancée depuis quelques dizaines de minutes seulement, 4 petits avions de tourisme se sont posés, après un joli 360° au-dessus du paddock. Mais ils ne sont pas restés sagement alignés le long de la piste, non ! Ils ont opéré chacun plusieurs vols au-dessus du circuit, des baptêmes de l’air en quelque sorte. Bref, considérons cet épisode aéronautique comme l’événement du mois à Ouled Jerrar — voire plus !
Cette première étape a démarré avec un tout petit peu de retard (11h14 très exactement), mais l’arrivée a été jugée à 17h00 tapantes !
Une étape qui avait commencé ce matin sur plusieurs mauvaises nouvelles…
L’équipage de l’Optimus n°1 va être contraint de modifier ses effectifs pour les deux dernières étapes de mercredi et jeudi prochains. Alexandre Rouchon, pour raisons personnelles, doit en effet regagner la France mardi; il sera remplacé par Antoine Morel, gérant de l’écurie MD Rallye et… heureusement muni de sa licence. Jipé Strugo, lui, arrivera comme prévu mardi pour relayer Pierre Lachaume au volant.
Abandon définitif du Protruck Chevrolet n° 6 de Schmid et Zosso : à la fin du prologue, hier, le pont avait donné des signes de grosse fatigue. Réparation impossible, les pièces n’étant pas disponibles au Maroc… Le “monstre du rallye” a disparu avant même le début des hostilités. Dommage, vraiment dommage, pour l’équipage, pour les photographes et pour l’épreuve.
Le Nissan Sprinkbox n° 7 a pris le départ de la course avec beaucoup de retard, vers 14h15, suite à des ennuis d’accélération relevant d’un boîtier électronique défaillant. L’écurie MD a fourni le matériel de remplacement, et un certain M. Lacaille, spécialiste de la programmation de ce genre de petite boîte noire…
Enfin, le Wildcat n° 10 a été retardé longuement par un problème de surchauffe survenu dès le premier tour… Le seul équipage marocain du rallye, déjà victime d’un tonneau hier, joue de malchance.
Photo : A.Rossignol.
Photo : A.Rossignol.
Le départ donné, le seul véritable ennemi du rallye s’est imposé aussitôt : la poussière, rouge, épaisse, insidieuse, se faufilant partout, dans les habitacles surchauffés comme dans les ordis de l’organisation… Une vraie peste !
Tout le monde pensait que la petite piste d’Ouled Jerrar était abandonnée… Hé bien non ! Alors que la première étape était lancée depuis quelques dizaines de minutes seulement, 4 petits avions de tourisme se sont posés, après un joli 360° au-dessus du paddock. Mais ils ne sont pas restés sagement alignés le long de la piste, non ! Ils ont opéré chacun plusieurs vols au-dessus du circuit, des baptêmes de l’air en quelque sorte. Bref, considérons cet épisode aéronautique comme l’événement du mois à Ouled Jerrar — voire plus !
Cette première étape a démarré avec un tout petit peu de retard (11h14 très exactement), mais l’arrivée a été jugée à 17h00 tapantes !
Une étape qui avait commencé ce matin sur plusieurs mauvaises nouvelles…
L’équipage de l’Optimus n°1 va être contraint de modifier ses effectifs pour les deux dernières étapes de mercredi et jeudi prochains. Alexandre Rouchon, pour raisons personnelles, doit en effet regagner la France mardi; il sera remplacé par Antoine Morel, gérant de l’écurie MD Rallye et… heureusement muni de sa licence. Jipé Strugo, lui, arrivera comme prévu mardi pour relayer Pierre Lachaume au volant.
Abandon définitif du Protruck Chevrolet n° 6 de Schmid et Zosso : à la fin du prologue, hier, le pont avait donné des signes de grosse fatigue. Réparation impossible, les pièces n’étant pas disponibles au Maroc… Le “monstre du rallye” a disparu avant même le début des hostilités. Dommage, vraiment dommage, pour l’équipage, pour les photographes et pour l’épreuve.
Le Nissan Sprinkbox n° 7 a pris le départ de la course avec beaucoup de retard, vers 14h15, suite à des ennuis d’accélération relevant d’un boîtier électronique défaillant. L’écurie MD a fourni le matériel de remplacement, et un certain M. Lacaille, spécialiste de la programmation de ce genre de petite boîte noire…
Enfin, le Wildcat n° 10 a été retardé longuement par un problème de surchauffe survenu dès le premier tour… Le seul équipage marocain du rallye, déjà victime d’un tonneau hier, joue de malchance.
Photo : A.Rossignol.
Photo : A.Rossignol.
Le départ donné, le seul véritable ennemi du rallye s’est imposé aussitôt : la poussière, rouge, épaisse, insidieuse, se faufilant partout, dans les habitacles surchauffés comme dans les ordis de l’organisation… Une vraie peste !
Cela s’est passé dans le paddock…
Les équipages des SSV n° 72 et 73 sont seuls au monde. Deux équipiers par véhicule, soit 4 personnes au total pour l’écurie Jardins Loisirs. Pas une de plus. Et, donc, pas d’assistance ! “Nous faisons ça ‘à l’ancienne’, et pour le plaisir !” Respect, messieurs.
Le Wildcat n° 10 est reparti après ses ennuis de surchauffe et a terminé son tour, à 12h28, avec de nouveaux problèmes de ventilateurs.
L’écobuggy n° 31 s’est retiré de la course vers 12h30, train AR arraché. “Si nous avons la bonne pièce de rechange, nous allons travailler ce soir et prendre le départ de l’étape 2 demain matin”, a indiqué l’un des responsables de l’association ODX2, qui engage le buggy. On a vu les deux équipiers rentrer à leur stand à pied, casque à la main, sur le coup de 15h45…
12h43 / Optimus n° 75 : arrêt pour ravitaillement et changement de la roue AVD crevée.
12h45 / SSV n° 73 : boîtier de direction assistée en vadrouille. L’équipage retrouve la chose, serre les écrous, et ça repart !
13h15 / Buggy n° 3 : après le tonneau du prologue, hier, la voiture connaît de petits ennuis, sans trop de conséquences, certes, mais elle ne tourne pas tout à fait rond — an niveau des injecteurs par exemple.
13h53 / n° 1 : arrêt ravitaillement pour l’Optimus de tête, qui tourne comme une horloge — et ses pilotes comme des métronomes…
14h15 : nouveaux ennuis de surchauffe pour le Wildcat n° 10, alors que le Nissan n° 7 vient enfin de prendre la piste !
14h20 / Nemesis n° 5 : la voiture rentre à son stand avec le bloc de feux ARG arraché et de la tôle tordue — elle a été assez violemment percutée à l’arrière par un autre concurrent dans une poussière épaisse. Les histoires de tôle tordue sont vite réglées à grands coups de disqueuse !
14h25 / Nissan n° 7 : arrêt au terme de son premier tour, les deux équipiers ayant de gros problèmes de liaison radio dans l’habitacle.
14h45 / le buggy n° 3 roule sans capot, mais avec un équipage au complet (…)
14h50 / SSV n° 73 : la voiture arrive au stand de ravitaillement avec la roue ARG crevée, mais les deux pilotes prennent d’abord le temps de siroter un café (à bord !), avant de réparer et de faire le plein ! Le SSV n° 72 ravitaille au tour suivant.
15h50 / Optimus n° 4 : la voiture arrive à son stand avec la roue AVG à l’équerre. Temps perdu : 8 min environ.
15h55 / Nissan n° 7 : les mécanos graissent les roulements de roues à l’AR.
16h05 / Bowler n° 59 : un petit apport d’huile pour le pont AV.
16h10 / Wildcat n° 10 : la petite voiture noire a tenté de reprendre la course, mais elle a été contrainte de s’arrêter définitivement pour cette journée, suite à un problème sur le fusible qui commande les ventilateurs.
16h38 / Nemesis n° 5 : arrêt au stand avec la roue AVG crevée.
C’est certainement au bowler n° 25 que revient le triste privilège de boucler la liste des incidents du jour : crevaison et ennui d’embrayage dans les tous derniers tours.
Le Wildcat n° 10 est reparti après ses ennuis de surchauffe et a terminé son tour, à 12h28, avec de nouveaux problèmes de ventilateurs.
L’écobuggy n° 31 s’est retiré de la course vers 12h30, train AR arraché. “Si nous avons la bonne pièce de rechange, nous allons travailler ce soir et prendre le départ de l’étape 2 demain matin”, a indiqué l’un des responsables de l’association ODX2, qui engage le buggy. On a vu les deux équipiers rentrer à leur stand à pied, casque à la main, sur le coup de 15h45…
12h43 / Optimus n° 75 : arrêt pour ravitaillement et changement de la roue AVD crevée.
12h45 / SSV n° 73 : boîtier de direction assistée en vadrouille. L’équipage retrouve la chose, serre les écrous, et ça repart !
13h15 / Buggy n° 3 : après le tonneau du prologue, hier, la voiture connaît de petits ennuis, sans trop de conséquences, certes, mais elle ne tourne pas tout à fait rond — an niveau des injecteurs par exemple.
13h53 / n° 1 : arrêt ravitaillement pour l’Optimus de tête, qui tourne comme une horloge — et ses pilotes comme des métronomes…
14h15 : nouveaux ennuis de surchauffe pour le Wildcat n° 10, alors que le Nissan n° 7 vient enfin de prendre la piste !
14h20 / Nemesis n° 5 : la voiture rentre à son stand avec le bloc de feux ARG arraché et de la tôle tordue — elle a été assez violemment percutée à l’arrière par un autre concurrent dans une poussière épaisse. Les histoires de tôle tordue sont vite réglées à grands coups de disqueuse !
14h25 / Nissan n° 7 : arrêt au terme de son premier tour, les deux équipiers ayant de gros problèmes de liaison radio dans l’habitacle.
14h45 / le buggy n° 3 roule sans capot, mais avec un équipage au complet (…)
14h50 / SSV n° 73 : la voiture arrive au stand de ravitaillement avec la roue ARG crevée, mais les deux pilotes prennent d’abord le temps de siroter un café (à bord !), avant de réparer et de faire le plein ! Le SSV n° 72 ravitaille au tour suivant.
15h50 / Optimus n° 4 : la voiture arrive à son stand avec la roue AVG à l’équerre. Temps perdu : 8 min environ.
15h55 / Nissan n° 7 : les mécanos graissent les roulements de roues à l’AR.
16h05 / Bowler n° 59 : un petit apport d’huile pour le pont AV.
16h10 / Wildcat n° 10 : la petite voiture noire a tenté de reprendre la course, mais elle a été contrainte de s’arrêter définitivement pour cette journée, suite à un problème sur le fusible qui commande les ventilateurs.
16h38 / Nemesis n° 5 : arrêt au stand avec la roue AVG crevée.
C’est certainement au bowler n° 25 que revient le triste privilège de boucler la liste des incidents du jour : crevaison et ennui d’embrayage dans les tous derniers tours.
Au terme de cette première étape, c’est l’Optimus n° 1 de MD Rallye qui s’installe en tête du classement après avoir bouclé 22 tours, soit 420 km en 5h51’53” et signé le meilleur tour en 13’4”073. Jolie performance pour Pierre Lachaume et Alexandre Rouchon : “Belle course, régulière, sans la moindre crevaison. Le gros souci de la journée a été la ‘gestion’ de la poussière. Pas facile de doubler dans ce brouillards épais, même les voitures les moins rapides…”
Un autre Optimus de MD Rallye, le n° 4, s’empare de la 2e position au classement, devant le Chevrolet n° 11. Laurent Fouquet, manager de l’équipe Sodicars : “Nous avons pour objectif de terminer ce rallye sur le podium. Nous y voici, dès le premier jour. Pour l’instant, le contrat est rempli ! Le plus difficile a été la poussière, surtout dans les deux derniers tours.”
Un autre Optimus de MD Rallye, le n° 4, s’empare de la 2e position au classement, devant le Chevrolet n° 11. Laurent Fouquet, manager de l’équipe Sodicars : “Nous avons pour objectif de terminer ce rallye sur le podium. Nous y voici, dès le premier jour. Pour l’instant, le contrat est rempli ! Le plus difficile a été la poussière, surtout dans les deux derniers tours.”
Étape 2 : 6H d'Agadir
La bataille des arganiers
Après les tonnes de poussière avalées par différents moyens hier à Ouled Jerrar, tout le monde s’attendait à une récidive aujourd’hui, surtout par des températures très élevées, sous un vent mollasson et peu enclin à toujours suivre la même direction. Et pourtant, à 13h30, la direction de course a pris la décision de ne pas modifier le programme initial : la bataille des arganiers s’est donc déroulée comme prévu, sur 6 heures non-stop et finalement sans trop de poussière…
Tracé dans la région de Biougra, le parcours de cette étape 2 était magnifique : du sable, des cailloux et du terrain dur, le tout pimenté par de nombreuses bosses et, parfois, un brin de slalom à faire entre les arganiers. Beaucoup de troupeaux aux alentours (brebis, ânes, dromadaires), quelques campements de nomades et des prairies à l’herbe courte mais bien verte… Une image très marocaine, très africaine…
Après les tonnes de poussière avalées par différents moyens hier à Ouled Jerrar, tout le monde s’attendait à une récidive aujourd’hui, surtout par des températures très élevées, sous un vent mollasson et peu enclin à toujours suivre la même direction. Et pourtant, à 13h30, la direction de course a pris la décision de ne pas modifier le programme initial : la bataille des arganiers s’est donc déroulée comme prévu, sur 6 heures non-stop et finalement sans trop de poussière…
Tracé dans la région de Biougra, le parcours de cette étape 2 était magnifique : du sable, des cailloux et du terrain dur, le tout pimenté par de nombreuses bosses et, parfois, un brin de slalom à faire entre les arganiers. Beaucoup de troupeaux aux alentours (brebis, ânes, dromadaires), quelques campements de nomades et des prairies à l’herbe courte mais bien verte… Une image très marocaine, très africaine…
Cela s’est passé sur la piste et/ou dans le paddock…
L’écobuggy n° 31 a pris le départ avec une quinzaine de minutes de retard. Hier, l’équipage toulousain avait été lourdement pénalisé par un train AR à l’instinct voyageur… Les mécanos ont travaillé cette nuit jusqu’à 3h00 pour souder, caler, réparer, panser les plaies… Frédric Dubois : “Une roue n’est pas tout à fait dans l’axe, mais cela a peu d’importance car sur ce circuit, il y a une majorité de virages à droite — ça devrait suivre !!!”
Mauvaise nouvelle avant le départ : en grande difficulté samedi et hier avec son système de refroidissement, l'Arctic Wildcat n° 10 (SSV) a définitivement jeté l’éponge, joint de culasse touché. Il reste 18 voitures en course.
Bonnes nouvelles au moment du départ, donné à 11h00 : le Nemesis n° 5 a retrouvé son bloc de feux ARG, et l’Optimus n° 75 son capot !
Le buggy n° 15 a pris le départ avec une bonne heure de retard, suite à un gros problème d’embrayage dans la matinée.
La boucle, qui développe 21,6 km, a été avalée en 15 min. dans le premier tour par le leader de la course, l’Optimus n° 1. Au premier passage dans le paddock, le n° 22 était passée devant le n° 11, pourtant parti devant elle.
11h50 / bowler n° 59 : remplacement de la rotule de direction à l’AVG.
12h05 / n° 31 : problème de sélection des rapports sur la boîte de vitesses rapidement réglé.
12h20 : le n° 22 et le n° 14 sont sanctionnés pour dépassement de la vitesse autorisée (40 km/h) dans le paddock — la punition est un “stop-and-go” de 1 min.
13h00 / 13h30 : pendant cette ½ heure, le ballet des arrêts dans le paddock pour ravitailler ou changer de pilotes est incessant…
13h50 / Optimus n° 1 : remplacement de l’amortisseur AVD, un boulon ayant cassé. Temps de l’intervention : 3 min. !
14h40 / Toyota n° 14 : la voiture passe à vitesse réduite dans le paddock, porte de coffre AR ouverte… On craint le pire pour le carton de course de “Smul”, qui a peut-être glissé sur le plancher pour s’écraser sur la piste !
14h45 : à hauteur du CP1, à moins de 2 km du départ, on signale le n° 75 en panne à un “carrefour”, à un endroit où il obstrue la piste; rapidement, un embouteillage se forme / une sacrée rareté sur les 24 H Off-Road du Maroc !!!
Plusieurs voitures se retrouvent donc bloquées, jusqu’à ce que le n° 7 tire le 75 de ce mauvais pas... Merci le 7. La piste se libère et c’est à ce moment qu’arrive le leader…
Au classement établi à 15h00, à la fin de la 4e heure de course, on constate que le n° 4 est passé devant le n° 1… On doit cette “anomalie” au fait que les arrêts au paddock (pour faire de la mécanique, ravitailler ou observer les 5 min réglementaires) perturbent l’ordre des passages et, donc, le classement. Lequel se recale après quelques tours et donne de nouveau l’Optimus n° 1 en tête !
15h00 : la température extérieure est de 46°…
15h10 / Optimus n° 4 : on rafraichit les pompes à essence avec de l’eau minérale, et les pilotes à coups d’air sous pression ! Les soucis de “vapor-lock” deviennent monnaie courante : après le n° 4, voici le n° 8, puis le 59…
15h30 / Proto Kalvas n° 46 : en panne de batterie au ¾ du parcours. La voiture passera finalement la ligne à 17h10, après moult souffrances endurées pour réparer…
16h00 : le vent se lève — c’est plutôt sympathique, juste pour la dernière heure de course !
16h00, au PC course : “conférence de de presse” d’Étienne Smulevici, devant un public nombreux et attentif. Ses victoires, ses Dakar, ses heures de gloire et ses galères… Pour l’heure, Étienne et ses petits camarades du Toyota n° 14 sont 7e au classement et mènent la danse en T2.
16h20 / n° 4 : arrêt au stand, roue ARG crevée.
16h30 / Buggy n° 22 : la voiture est arrêtée au bord de la piste, ½ train AR hors-service.
16h55 / Nemesis n° 5 : on fait de la ‘fast carrosserie” sur le toit de la voiture, à grands coups de perceuse et de liens en plastique !
Mauvaise nouvelle avant le départ : en grande difficulté samedi et hier avec son système de refroidissement, l'Arctic Wildcat n° 10 (SSV) a définitivement jeté l’éponge, joint de culasse touché. Il reste 18 voitures en course.
Bonnes nouvelles au moment du départ, donné à 11h00 : le Nemesis n° 5 a retrouvé son bloc de feux ARG, et l’Optimus n° 75 son capot !
Le buggy n° 15 a pris le départ avec une bonne heure de retard, suite à un gros problème d’embrayage dans la matinée.
La boucle, qui développe 21,6 km, a été avalée en 15 min. dans le premier tour par le leader de la course, l’Optimus n° 1. Au premier passage dans le paddock, le n° 22 était passée devant le n° 11, pourtant parti devant elle.
11h50 / bowler n° 59 : remplacement de la rotule de direction à l’AVG.
12h05 / n° 31 : problème de sélection des rapports sur la boîte de vitesses rapidement réglé.
12h20 : le n° 22 et le n° 14 sont sanctionnés pour dépassement de la vitesse autorisée (40 km/h) dans le paddock — la punition est un “stop-and-go” de 1 min.
13h00 / 13h30 : pendant cette ½ heure, le ballet des arrêts dans le paddock pour ravitailler ou changer de pilotes est incessant…
13h50 / Optimus n° 1 : remplacement de l’amortisseur AVD, un boulon ayant cassé. Temps de l’intervention : 3 min. !
14h40 / Toyota n° 14 : la voiture passe à vitesse réduite dans le paddock, porte de coffre AR ouverte… On craint le pire pour le carton de course de “Smul”, qui a peut-être glissé sur le plancher pour s’écraser sur la piste !
14h45 : à hauteur du CP1, à moins de 2 km du départ, on signale le n° 75 en panne à un “carrefour”, à un endroit où il obstrue la piste; rapidement, un embouteillage se forme / une sacrée rareté sur les 24 H Off-Road du Maroc !!!
Plusieurs voitures se retrouvent donc bloquées, jusqu’à ce que le n° 7 tire le 75 de ce mauvais pas... Merci le 7. La piste se libère et c’est à ce moment qu’arrive le leader…
Au classement établi à 15h00, à la fin de la 4e heure de course, on constate que le n° 4 est passé devant le n° 1… On doit cette “anomalie” au fait que les arrêts au paddock (pour faire de la mécanique, ravitailler ou observer les 5 min réglementaires) perturbent l’ordre des passages et, donc, le classement. Lequel se recale après quelques tours et donne de nouveau l’Optimus n° 1 en tête !
15h00 : la température extérieure est de 46°…
15h10 / Optimus n° 4 : on rafraichit les pompes à essence avec de l’eau minérale, et les pilotes à coups d’air sous pression ! Les soucis de “vapor-lock” deviennent monnaie courante : après le n° 4, voici le n° 8, puis le 59…
15h30 / Proto Kalvas n° 46 : en panne de batterie au ¾ du parcours. La voiture passera finalement la ligne à 17h10, après moult souffrances endurées pour réparer…
16h00 : le vent se lève — c’est plutôt sympathique, juste pour la dernière heure de course !
16h00, au PC course : “conférence de de presse” d’Étienne Smulevici, devant un public nombreux et attentif. Ses victoires, ses Dakar, ses heures de gloire et ses galères… Pour l’heure, Étienne et ses petits camarades du Toyota n° 14 sont 7e au classement et mènent la danse en T2.
16h20 / n° 4 : arrêt au stand, roue ARG crevée.
16h30 / Buggy n° 22 : la voiture est arrêtée au bord de la piste, ½ train AR hors-service.
16h55 / Nemesis n° 5 : on fait de la ‘fast carrosserie” sur le toit de la voiture, à grands coups de perceuse et de liens en plastique !
Après l’arrivée…
Podium :
1° Optimus MD Rallye n°1 (P.Lachaume-JP.Strugo-A.Rouchon-A.Morel)
2° Optimus MD Rallye n°4 (P.Vasseur-P.Thomasse-J.Pelichet-P.Larroque)
3° Nemesis Barbry Factory Team n°5 (S.Barbry-G.Lansac-R.Prive)
Pour l’écobuggy n° 31 : “La ‘réparation aviation’ de cette nuit a bien tenu ! Pas de réels soucis aujourd’hui, notre équipage a pu rouler à sa main.”
Laurent Fouquet, pour le n° 11 : “Nous avons connu des problèmes de vapor-lock sur le dernier relais, et perdu du temps, beaucoup de temps…”
Stéphane Barbry, Nemesis n° 5 : “Notre moteur est un 3 litres bi-turbo diesel. Les températures de fonctionnement sont formidablement basses, ou “normales”. Donc, pas de vapor-lock ! Cette voiture est faite pour l’Afrique ! Nous sommes désormais sur la 3e marche !"
Pierre Lachaume, leader de l’épreuve avec Alexandre Rouchon sur l’Optimus n° 1 : “Nous nous sommes retrouvés en deuxième position à un moment de la course. Pas de panique, nous avons géré comme il le fallait et, surtout, nous avons su éviter des ennuis de vapor-lock en offrant un peu de repos à la machine, à l’ombre, au bon moment ! Bref, nous avons récupéré ‘notre bien’.”
15 équipages sont classés, 3 n’ont pu franchir la ligne d’arrivée. Et l’on ne déplore que 2 abandons depuis le début du rallye, les n° 6 et 10.
1° Optimus MD Rallye n°1 (P.Lachaume-JP.Strugo-A.Rouchon-A.Morel)
2° Optimus MD Rallye n°4 (P.Vasseur-P.Thomasse-J.Pelichet-P.Larroque)
3° Nemesis Barbry Factory Team n°5 (S.Barbry-G.Lansac-R.Prive)
Pour l’écobuggy n° 31 : “La ‘réparation aviation’ de cette nuit a bien tenu ! Pas de réels soucis aujourd’hui, notre équipage a pu rouler à sa main.”
Laurent Fouquet, pour le n° 11 : “Nous avons connu des problèmes de vapor-lock sur le dernier relais, et perdu du temps, beaucoup de temps…”
Stéphane Barbry, Nemesis n° 5 : “Notre moteur est un 3 litres bi-turbo diesel. Les températures de fonctionnement sont formidablement basses, ou “normales”. Donc, pas de vapor-lock ! Cette voiture est faite pour l’Afrique ! Nous sommes désormais sur la 3e marche !"
Pierre Lachaume, leader de l’épreuve avec Alexandre Rouchon sur l’Optimus n° 1 : “Nous nous sommes retrouvés en deuxième position à un moment de la course. Pas de panique, nous avons géré comme il le fallait et, surtout, nous avons su éviter des ennuis de vapor-lock en offrant un peu de repos à la machine, à l’ombre, au bon moment ! Bref, nous avons récupéré ‘notre bien’.”
15 équipages sont classés, 3 n’ont pu franchir la ligne d’arrivée. Et l’on ne déplore que 2 abandons depuis le début du rallye, les n° 6 et 10.
Étape 3 : 6H de Ouarzazate
Le parcours de cette étape 3, développant 28.61 km, est plutôt atypique. Un plateau immense, plat comme la main, coupé en deux par un énorme talus à forte pente… Partout, des touffes d’herbe rase (très rase) et de vastes étendues de petites fleurs jaune pâle, façon immortelle… Le début est très roulant et ultra-rapide, cap sur la chaîne de l’Atlas encore légèrement enneigée — ça roule vraiment très vite ! Ensuite, le décor change, la piste devient caillouteuse, un peu plus cassante, avec quelques énormes “pièges”. On longe un champ de tir, habituellement fréquenté par les chars lourds de l’Armée Royale — les cibles utilisées lors des exercices sont bien visibles, au pied d’une colline…
Message aux concurrents et aux contrôleurs des CP : dès la fin des 6 heures, prière de rentrer au plus vite au bercail…!
A l’opposé, derrière le paddock, un talus et, en contrebas, une vaste zone très plate avec quelques éléments de décors de cinéma — dont une kasbah complète, et une machine de jet du Moyen Âge, en l’occurrence un mangonneau à roue de carrier.
Le départ de l’étape est donné à 11h00 par l’officier responsable de la Gendarmerie Royale sur le secteur de l’épreuve.
Peu avant 11h00, Pierre Lachaume se trouve au bord de la piste, en t’shirt et bermuda, prenant grand soin de l’équipage qui prend le premier relais sur l’Optimus n° 1 / Jipé Strugo au volant et Antoine Morel / : “Il faut que je les soigne, ‘mes petits’…”
11h00 : le Nemesis n° 5 s’élance en crachant un énorme panache de fumée noire. “Smul” a vu la scène : “C’est un diesel ?”…
Message aux concurrents et aux contrôleurs des CP : dès la fin des 6 heures, prière de rentrer au plus vite au bercail…!
A l’opposé, derrière le paddock, un talus et, en contrebas, une vaste zone très plate avec quelques éléments de décors de cinéma — dont une kasbah complète, et une machine de jet du Moyen Âge, en l’occurrence un mangonneau à roue de carrier.
Le départ de l’étape est donné à 11h00 par l’officier responsable de la Gendarmerie Royale sur le secteur de l’épreuve.
Peu avant 11h00, Pierre Lachaume se trouve au bord de la piste, en t’shirt et bermuda, prenant grand soin de l’équipage qui prend le premier relais sur l’Optimus n° 1 / Jipé Strugo au volant et Antoine Morel / : “Il faut que je les soigne, ‘mes petits’…”
11h00 : le Nemesis n° 5 s’élance en crachant un énorme panache de fumée noire. “Smul” a vu la scène : “C’est un diesel ?”…
Cela s’est passé sur la piste et/ou dans le paddock…
17’12” : c’est le (meilleur) temps réalisé dans le premier tour, par l’Optimus n° 4 — qui s’est rapidement porté en tête, au détriment du n° 1….
11h15 / Toyota n° 14 - la voiture est signalée en état de récidive sur la piste, avec la porte du coffre AR ouverte ! Le “problème” a été définitivement réglé plus tard avec de l’adhésif large !
12h00 : après 1 heure de course, 3 tours ont été couverts et l’Optimus n° 4 devance son petit camarade n° 1 de 1’42”
12h25 / Optimus n° 4 : passage par le stand, roue AVG crevé. Le remplacement se fait un peu long, et se termine à coups de masse !
12h50 : le n° 30 inaugure les passages par la zone des 5 min.
13h00 : et le n° 4 est le premier à passer par la zone de ravitaillement.
13h10, Stéphane Barbry (Nemesis n° 5), après son relais : “Le parcours est très bien, il y a de la poussière, mais bon, c’est valable pour tout le monde.”
14h15 : un calme étrange règne sur la course… Pas le moindre incident à signaler. Seuls sujets de préoccupation : la chaleur, et la poussière qui va bien avec. Un calme qui ne va guère se prolonger…
Durant la 4e heure de course, le n° 22 a été victime de la rupture de plusieurs joints autour de la boîte de vitesses. L’équipage annonce son abandon, mais passe la ligne d’arrivée à 17h25…
14h34 : le buggy n° 3 est arrêté au bord de la piste / vapor-lock.
14h36 : le n° 46 est lui aussi arrêté, moteur en surchauffe.
A 15h00, le 3 et le 46 ont repris la course. C’est maintenant la 59 qui est signalée en panne au km. 22.
15h20 : le n° 46 est de nouveau à l’arrêt sur le parcours… Il repart 15 min. plus tard.
16h00, brève rencontre au PC course avec Jipé Strugo, Optimus n° 1 : “J’étais un peu crispé ce matin, au début de mon premier relais. Il me fallait le temps d’apprendre le circuit . Quant à la voiture, je la connais bien.”
Quelques minutes plus tard, après un ravitaillement en carburant, la voiture rentre à son stand avec la roue ARD à 25°… Un boulon du tirant a cassé, et la réparation prend du temps — 16 min environ, soit quasiment un tour. Pendant l’intervention, Pierre Lachaume au volant et Jean-Pierre Strugo dans le baquet de droite (une rareté !) devisent “tranquillement”, et commentent le parcours !
Derniers incidents à déplorer avant la fermeture : train AR vadrouilleur sur la n° 3 et, donc, des soucis de freinage… Radiateur percé par un caillou sur la n° 11, à environ 10 km de la fin du circuit. Le moteur n’a pas souffert, mais 2 tours ont été perdus… La n° 15 est arrêtée sur la piste…
Le drapeau à damier est présenté à la n° 4 vers 17h15. Le buggy s’est imposé avec plus de 18 min d’avance sur la n° 1 et plus de 33 min sur le Nemesis n° 5.
11h15 / Toyota n° 14 - la voiture est signalée en état de récidive sur la piste, avec la porte du coffre AR ouverte ! Le “problème” a été définitivement réglé plus tard avec de l’adhésif large !
12h00 : après 1 heure de course, 3 tours ont été couverts et l’Optimus n° 4 devance son petit camarade n° 1 de 1’42”
12h25 / Optimus n° 4 : passage par le stand, roue AVG crevé. Le remplacement se fait un peu long, et se termine à coups de masse !
12h50 : le n° 30 inaugure les passages par la zone des 5 min.
13h00 : et le n° 4 est le premier à passer par la zone de ravitaillement.
13h10, Stéphane Barbry (Nemesis n° 5), après son relais : “Le parcours est très bien, il y a de la poussière, mais bon, c’est valable pour tout le monde.”
14h15 : un calme étrange règne sur la course… Pas le moindre incident à signaler. Seuls sujets de préoccupation : la chaleur, et la poussière qui va bien avec. Un calme qui ne va guère se prolonger…
Durant la 4e heure de course, le n° 22 a été victime de la rupture de plusieurs joints autour de la boîte de vitesses. L’équipage annonce son abandon, mais passe la ligne d’arrivée à 17h25…
14h34 : le buggy n° 3 est arrêté au bord de la piste / vapor-lock.
14h36 : le n° 46 est lui aussi arrêté, moteur en surchauffe.
A 15h00, le 3 et le 46 ont repris la course. C’est maintenant la 59 qui est signalée en panne au km. 22.
15h20 : le n° 46 est de nouveau à l’arrêt sur le parcours… Il repart 15 min. plus tard.
16h00, brève rencontre au PC course avec Jipé Strugo, Optimus n° 1 : “J’étais un peu crispé ce matin, au début de mon premier relais. Il me fallait le temps d’apprendre le circuit . Quant à la voiture, je la connais bien.”
Quelques minutes plus tard, après un ravitaillement en carburant, la voiture rentre à son stand avec la roue ARD à 25°… Un boulon du tirant a cassé, et la réparation prend du temps — 16 min environ, soit quasiment un tour. Pendant l’intervention, Pierre Lachaume au volant et Jean-Pierre Strugo dans le baquet de droite (une rareté !) devisent “tranquillement”, et commentent le parcours !
Derniers incidents à déplorer avant la fermeture : train AR vadrouilleur sur la n° 3 et, donc, des soucis de freinage… Radiateur percé par un caillou sur la n° 11, à environ 10 km de la fin du circuit. Le moteur n’a pas souffert, mais 2 tours ont été perdus… La n° 15 est arrêtée sur la piste…
Le drapeau à damier est présenté à la n° 4 vers 17h15. Le buggy s’est imposé avec plus de 18 min d’avance sur la n° 1 et plus de 33 min sur le Nemesis n° 5.
Après l’arrivée…
Jipé Strugo vient de s’offrir une sacrée expérience : “Il fallait que je vienne ici pour vivre une course depuis le siège du coéquipier ! C’est une grande première pour moi ! Je n’ai pas eu peur, à aucun moment. A côté de Pierre (Lachaume), il n’y avait d’ailleurs aucune raison d’avoir peur ! C’est très intéressant, on voit la piste, les trajectoires d’une autre manière. Pierre pilote un peu comme moi, mais il est plus vite — là où je suis en 5, lui est en 6... Très intéressant, vraiment !”
Il reste 18 voitures en course, et l’on déplore toujours 2 abandons depuis le début du rallye / les n° 6, et 10.
Ce soir, une fois l’étape 3 bouclée, la journée ne sera pas terminée puisqu’il faudra encore couvrir une liaison de 170 km, direction Zagora et l’hôtel palais Asmaa.
Il reste 18 voitures en course, et l’on déplore toujours 2 abandons depuis le début du rallye / les n° 6, et 10.
Ce soir, une fois l’étape 3 bouclée, la journée ne sera pas terminée puisqu’il faudra encore couvrir une liaison de 170 km, direction Zagora et l’hôtel palais Asmaa.
Étape 4 - Finale : les 6 Heures d’Ouled Driss
Du dur et du mou…
Bel environnement pour le paddock de cette 4e et dernière étape : petites dunes, campement de nomades, quelques herbes sèches... Quant au parcours, qui développe 44,83 km, il est le plus long de cette 6e édition des 24H Off-Road du Maroc.
Au menu, quelques passages de dunettes, du sable mou, des secteurs plus roulants, des cailloux et... une grosse chaleur !
Bel environnement pour le paddock de cette 4e et dernière étape : petites dunes, campement de nomades, quelques herbes sèches... Quant au parcours, qui développe 44,83 km, il est le plus long de cette 6e édition des 24H Off-Road du Maroc.
Au menu, quelques passages de dunettes, du sable mou, des secteurs plus roulants, des cailloux et... une grosse chaleur !
Cela s’est passé sur la piste et/ou dans le paddock…
Au moment du départ, le n° 46 manque à l’appel : crevaison à l’ARD pendant le tour de reconnaissance du circuit. Hier, le proto Kalvas avait souffert non pas de problème de surchauffe, mais d’un coupe-circuit récalcitrant, voire baladeur…
Le départ de cette 4e et dernière étape est donné par Jean-Louis Dronne à 10h00 pour 16 voitures; en effet, les n° 22 et 59 ne se sont pas présentées. L’arrivée sera jugée à partir de 16h00.
10h30 / l’Optimus n° 4 passe la ligne pour la première fois. Pour les meilleurs, la boucle s’avale en ½ heure…
11h15 / 5e abandon depuis le début du rallye, le Proto Kalvas n° 46 : “Joint de culasse, voire moteur,” annonce, dépité, Cédric Kalvas — qui a rejoint le paddock à bord d’un ‘Tango’.
Il reste 15 voitures en course.
11h35 / l’Optimus n° 4 passe par son stand pour régler un problème sur le circuit de freinage.
47° : c’est la température enregistrée au paddock à 11h45.
12h00 / la n° 75 est la première à passer par la zone ravitaillement.
12h25 : ravitaillement en carburant, eau, salade de fruits, coca et pastèque bien mûre pour l’équipage n° 3.
12h30 / arrêt de 5 min pour le Nemesis n° 5 : “Le moteur souffre un peu de la chaleur, on doit soulager dans les zones molles…”
12h40 / le n° 31 dans la zone des 5 min. : “Nous sommes crevés, on a travaillé tard dans la nuit sur la voiture. Pour le moment, tout va bien, mais il fait vraiment très chaud. Si la course est partie pour 6 heures, on risque d’être un peu juste en essence…”
13h10 / la n° 1 au ravitaillement, Jipé Strugo prend le relais de Pierre Lachaume : “Cela va être très dur sur la fin, dans les zones molles, on tire de plus en plus sur la mécanique.”
13h35 / les deux voitures Sodicars entrent en même temps dans la zone des 5 min — la n°11 et la 25, cette dernière avec la roue ARG crevée.
13h55 / le four se met en (sur)chauffe : 49°.
14h30 / Il reste 1h30 de course. Ravitaillement pour le Nemesis n° 5 : Reynald Privé sort de la voiture en titubant — il est à bord depuis le départ, ce matin 10h00 ! Et il repart pour un dernier “relais”, avec Stéphane Barbry, après avoir copiloté Georges Lansac — “On roule un peu en “hors-piste” car sinon, dans le mou défoncé, on peut se planter !”
14h40 / Ça monte, ça monte : 51°.
14h50 / Arrêt des 5 min pour le n° 7… qui est incapable de redémarrer au moment du départ. Quelques bouteilles d’eau minérale sur les pompes à essence, remède miracle, ça repart !
14h55 / Dernier ravitaillement pour la n° 1 : Pierre Lachaume remplace Jipé Strugo au volant. D’après ce dernier, “le terrain n’est pas trop dégradé, ça roule assez bien.” Après le départ de la voiture, gros débat au sein de l’équipe pour estimer le retard réel entre les deux animateurs de la course : la n° 4 et la n° 1.
15h20 / On signale le n° 25 à l’arrêt sur le circuit. Il repart au petit pas une dizaine de minutes plus tard, avec le pont AV en miettes.
15h40 / Second arrêt de 5 min pour le n° 11. La n° 4 passe la ligne, pour son dernier tour.
Le n° 75 attend son tout dernier tour pour effectuer 3 tonneaux après le passage d’une bosse pas sympa… Si la voiture est (très) abimée, l’équipage sort fort heureusement indemne de cette figure…
16h12 : la n° 4 franchit la ligne d’arrivée. Son adversaire, l’Optimus n° 1, est passé là quelques secondes avant…
Le départ de cette 4e et dernière étape est donné par Jean-Louis Dronne à 10h00 pour 16 voitures; en effet, les n° 22 et 59 ne se sont pas présentées. L’arrivée sera jugée à partir de 16h00.
10h30 / l’Optimus n° 4 passe la ligne pour la première fois. Pour les meilleurs, la boucle s’avale en ½ heure…
11h15 / 5e abandon depuis le début du rallye, le Proto Kalvas n° 46 : “Joint de culasse, voire moteur,” annonce, dépité, Cédric Kalvas — qui a rejoint le paddock à bord d’un ‘Tango’.
Il reste 15 voitures en course.
11h35 / l’Optimus n° 4 passe par son stand pour régler un problème sur le circuit de freinage.
47° : c’est la température enregistrée au paddock à 11h45.
12h00 / la n° 75 est la première à passer par la zone ravitaillement.
12h25 : ravitaillement en carburant, eau, salade de fruits, coca et pastèque bien mûre pour l’équipage n° 3.
12h30 / arrêt de 5 min pour le Nemesis n° 5 : “Le moteur souffre un peu de la chaleur, on doit soulager dans les zones molles…”
12h40 / le n° 31 dans la zone des 5 min. : “Nous sommes crevés, on a travaillé tard dans la nuit sur la voiture. Pour le moment, tout va bien, mais il fait vraiment très chaud. Si la course est partie pour 6 heures, on risque d’être un peu juste en essence…”
13h10 / la n° 1 au ravitaillement, Jipé Strugo prend le relais de Pierre Lachaume : “Cela va être très dur sur la fin, dans les zones molles, on tire de plus en plus sur la mécanique.”
13h35 / les deux voitures Sodicars entrent en même temps dans la zone des 5 min — la n°11 et la 25, cette dernière avec la roue ARG crevée.
13h55 / le four se met en (sur)chauffe : 49°.
14h30 / Il reste 1h30 de course. Ravitaillement pour le Nemesis n° 5 : Reynald Privé sort de la voiture en titubant — il est à bord depuis le départ, ce matin 10h00 ! Et il repart pour un dernier “relais”, avec Stéphane Barbry, après avoir copiloté Georges Lansac — “On roule un peu en “hors-piste” car sinon, dans le mou défoncé, on peut se planter !”
14h40 / Ça monte, ça monte : 51°.
14h50 / Arrêt des 5 min pour le n° 7… qui est incapable de redémarrer au moment du départ. Quelques bouteilles d’eau minérale sur les pompes à essence, remède miracle, ça repart !
14h55 / Dernier ravitaillement pour la n° 1 : Pierre Lachaume remplace Jipé Strugo au volant. D’après ce dernier, “le terrain n’est pas trop dégradé, ça roule assez bien.” Après le départ de la voiture, gros débat au sein de l’équipe pour estimer le retard réel entre les deux animateurs de la course : la n° 4 et la n° 1.
15h20 / On signale le n° 25 à l’arrêt sur le circuit. Il repart au petit pas une dizaine de minutes plus tard, avec le pont AV en miettes.
15h40 / Second arrêt de 5 min pour le n° 11. La n° 4 passe la ligne, pour son dernier tour.
Le n° 75 attend son tout dernier tour pour effectuer 3 tonneaux après le passage d’une bosse pas sympa… Si la voiture est (très) abimée, l’équipage sort fort heureusement indemne de cette figure…
16h12 : la n° 4 franchit la ligne d’arrivée. Son adversaire, l’Optimus n° 1, est passé là quelques secondes avant…
Après l’arrivée…
Pierre Lachaume, Optimus n° 1, vainqueur de l’épreuve : “J’ai atteint mon objectif, qui était de gagner de nouveau cette année. Mais cela n’a pas été simple : il y avait 4 belles voitures en mesure de l’emporter. Cette victoire s’est construite en deux phases : les deux premiers jours, avec Alexandre Rouchon, on a attaqué pour se forger une avance suffisante. Ensuite, il y a eu des changements dans notre équipage, avec le départ précipité d’Alex et l’arrivée de Jean-Pierre Strugo et d’Antoine Morel. Cela a été un peu perturbant. Mais l’essentiel est là, nous avons gagné ! Tous ensemble.”
Jipé Strugo, Optimus n° 1, vainqueur de l’épreuve : “Belle course, belle équipe… Mais ces 24 Heures du Maroc, c’est quand même un peu le rythme du Dakar !!!”
Étienne Smulévici, Toyota n° 14 : “Victoire en T2, 6e au général, et on ramène une auto intacte ! Il s’agit de ma troisième participation à cette épreuve, mais je retiendrai surtout de cette édition 2015 la belle aventure humaine que j’ai vécue avec tous les membres de mon équipe.”
Nicolas Clerget, buggy n° 3 : “Nous avons roulé ‘vite et prudent’ aujourd’hui, cela a été payant. Pas le moindre souci, ni vapor-lock, ni autre chose… Mais on a quand même frisé les 200 km/h sur certains secteurs roulants !”
Jipé Strugo, Optimus n° 1, vainqueur de l’épreuve : “Belle course, belle équipe… Mais ces 24 Heures du Maroc, c’est quand même un peu le rythme du Dakar !!!”
Étienne Smulévici, Toyota n° 14 : “Victoire en T2, 6e au général, et on ramène une auto intacte ! Il s’agit de ma troisième participation à cette épreuve, mais je retiendrai surtout de cette édition 2015 la belle aventure humaine que j’ai vécue avec tous les membres de mon équipe.”
Nicolas Clerget, buggy n° 3 : “Nous avons roulé ‘vite et prudent’ aujourd’hui, cela a été payant. Pas le moindre souci, ni vapor-lock, ni autre chose… Mais on a quand même frisé les 200 km/h sur certains secteurs roulants !”